Hypnose - le moyen le plus efficace, rapide et simple pour créer de la neuroplasticité et ainsi changer les comportements

Qu'est-ce que la neuroplasticité ?

La communauté scientifique pensait autrefois que le cerveau cessait de se développer après les premières années de la vie. Il était également admis que le cerveau était fixe et immuable jusqu’à ce que le psychiatre Dr Norman Doidge ait écrit sur le potentiel thérapeutique de la neuroplasticité1. Ainsi, le principe de neuroplasticité démontre que le cerveau peut continuer à se développer même à l’âge adulte. 

La neuroplasticité est également connue sous le nom de plasticité cérébrale. Cela signifie que le cerveau change constamment en formant de nouvelles voies neuronales (réseaux multi-neuronaux composés de neurones connectés par des dendrites), en réponse aux interactions avec notre environnement. Ces nouvelles voies sont créées dans le cerveau en fonction de nos habitudes et de nos comportements et trace de nouvelles voies afin de les relier.  

Neuroplasticité ... pas aussi facile que nous le pensions

Malheureusement, obtenir de la neuroplasticité n’est pas si facile, c’est difficile, voire très difficile. Pour créer de la neuroplasticité, nous sommes confrontés à deux difficultés. La première est d’accomplir une tâche difficile pour le cerveau et la seconde est d’avoir de la constance et d’être répétitif. Pour mieux comprendre, imaginez votre cerveau comme un champ recouvert de neige ou comme une étendue de sable. Tracer un nouveau chemin dans ce champ de neige ou dans ce sable demande beaucoup d’efforts et d’énergies, c’est désagréable et inconfortable. Nous sommes donc plus enclins à emprunter le même chemin, celui qui est déjà tracé, car c’est plus facile. Cependant, avec de la constance, plus nous utiliserons ce nouveau chemin dans la neige ou le sable, plus nous marcherons facilement et rapidement. Comme l’explique le psychologue Dean Ware : « les messages qui parcourent sans cesse le même chemin dans le cerveau commencent à se transmettre de plus en plus vite ». Quant à celui qui est considéré comme le contributeur le plus important dans le domaine des neurosciences, le psychologue canadien Donald O. Hebb, il déclare que : « Neurons that fire together wire together »2.

Ce qui est difficile pour les gens, c’est de changer. Mon mémoire de maîtrise3 a démontré que parmi les cinq plus grands obstacles à l’atteinte des objectifs d’une organisation, le plus difficile était de passer à l’action, en quelque sorte, sortir de sa zone de confort. Pour certaines personnes, c’est débuter quelque chose qui est difficile, pour d’autres c’est de continuer, à savoir réaliser des répétitions et terminer.

Les deux meilleures activités qui procurent de la neuroplasticité :

Pour la plupart des gens, les deux meilleurs exemples qui procurent une neuroplasticité respectent les deux grandes conditions, à savoir le défi de la tâche et la répétition. Ils consistent à apprendre une nouvelle langue ou un instrument de musique. Tout comme dans mon domaine d’expertise, le fait de se débarrasser d’une dépendance est une activité très difficile et nécessite une certaine répétition, c’est donc un exemple de neuroplasticité également. Comme l’a déclaré le neurologue vasculaire Dr Oana Dumitrascu4 : « Il a été démontré que le fait de mettre votre cerveau au défi d’apprendre quelque chose de nouveau, comme une langue étrangère ou un instrument de musique, améliore la structure du cerveau et la neuroplasticité ».

Est-ce que le sudoku et les mots croisés procurent de la neuroplasticité ?

En considérant la première condition nécessaire à l’obtention de neuroplasticité, à savoir la difficulté de la tâche, plusieurs personnes auront tendance à croire que le sudoku et les mots croisés peuvent améliorer la neuroplasticité. Malgré le fait que ces exercices cérébraux peuvent garder les cellules cérébrales actives et en bonne santé, fournissent-ils réellement une neuroplasticité ? Non, contrairement à la croyance populaire et à ce qu’on peut lire sur ce sujet, le sudoku et les mots croisés ne fourniraient pas vraiment de neuroplasticité5. Le Dr Oana Dumitrascu a déclaré que maintenir le cerveau en bonne santé est plus complexe que de simplement faire des énigmes quotidiennes : « Les activités répétitives et le maintien dans votre zone de confort n’amélioreront pas votre neuroplasticité »6. De plus, une étude publiée en 2013 dans Psychological Science7 a révélé que les personnes âgées de 60 à 90 ans qui pratiquaient des activités nouvelles et complexes, telles que le matelassage ou la photographie numérique, voire les deux, et ce pendant 16,51 heures en moyenne par semaine et pendant 3 mois, ont obtenu de meilleurs résultats aux tests de mémoire à long terme que le groupe témoin qui a fait des activités plus familières comme lire et faire des mots croisés.

L’étude la plus pertinente liée à ce sujet est sans aucun doute l’étude publiée dans le British Medical Journal qui a porté sur 498 personnes nées en 1936. Ces personnes ont participé à un test d’intégrité à l’âge de 11 ans et ont ensuite été testées à partir de 64 ans, pendant 15 ans, pour la vitesse de traitement de l’information cognitive et verbale. Cette étude a démontré que la résolution de puzzles de Sudoku et de mots croisés ne pouvait pas influencer les trajectoires de déclin cognitif8.

Si vous voulez garder votre cerveau « plastique », comme le dit Tara Swart, neuroscientifique : « les nouveaux défis qui vous poussent à l’épuisement mental et physique obligent votre cerveau à changer son fonctionnement, c’est la façon dont de nouveaux neurones sont développés et renforcés pour se connecter aux neurones existants, formant une nouvelle voie »9. Le Dr Oana Dumitrascu va dans le même sens en déclarant « Vous devez vous mettre au défi chaque jour »4.

Par ailleurs, à l’âge adulte, nous avons tellement de réseaux de neurones existants qu’il est difficile pour le cerveau de créer de nouveaux réseaux (car, il est plus enclin à emprunter toujours le même chemin déjà tracé dans le champ de neige, puisque cela est plus facile).

La plus grande difficulté pour arriver à la neuroplasticité : le temps

Parlons à présent de la deuxième condition pour créer de la neuroplasticité, à savoir la répétition. Selon Tara Swart10 : « En fonction de la complexité de l’activité, quatre mois et demi, 144 jours ou même trois mois sont nécessaires pour créer une nouvelle carte cérébrale, d’une complexité égale à une ancienne, dans le cortex moteur ». La plus grande difficulté est donc la répétition à travers le temps, car la motivation, l’autodiscipline, la volonté et la maîtrise de soi sont nécessaires pour réaliser cette activité complexe. En effet, durant toute cette période, les croyances peuvent entraver le progrès. Si vous voulez apprendre une nouvelle langue, un instrument de musique ou arrêter de consommer de la drogue, mais que vous avez la conviction que vous n’êtes pas assez à la hauteur ou que c’est trop difficile, même si consciemment vous le désirez, alors vos croyances limitantes et inconscientes viendront compliquer les choses, et cette nouvelle carte cérébrale aura de fortes chances de ne pas se créer. Votre cerveau commencera rapidement une guerre interne pendant cette période nécessaire au changement de croyances et à la mise en place de nouveaux comportements afin de créer la nouvelle carte cérébrale et obtenir ainsi la neuroplasticité.

Exemples de guerre intérieure : conscient contre subconscient

Cela me rappelle une histoire d’un expert en transformation humaine, Alexandre Nadeau, avec qui j’ai suivi plusieurs formations en développement personnel. Lors d’une conférence, il a demandé aux 1 500 personnes qui étaient présentes « Qui a déjà utilisé la loi de l’attraction et pour qui cela a fonctionné ? ». Plus de la moitié des personnes présentes ont levé la main. Il a ensuite demandé à ceux ayant levé la main « Pour qui la loi de l’attraction a fonctionné, mais outre que pour trouver une place de stationnement », seulement 5 à 7 mains sont restées levées parmi les 1 500 personnes. Cette petite histoire amusante démontre qu’accomplir des objectifs qui nécessitent un alignement positif entre le conscient et le subconscient (une adéquation entre ce que l’on veut et ce qu’on l’on croit vraiment) est très difficile. Nous pouvons bien prendre 15 minutes par jour pour méditer ou tenter d’être positif afin d’attirer quelque chose, mais si ensuite pendant 16 heures notre « moi intérieur », notre subconscient, n’y croit pas, alors devinez qui finira par gagner la « guerre intérieure » ?

Affirmations positives pour convaincre notre « moi intérieur » … vraiment ?

Pour aider à changer les croyances limitatives et « se libérer » des obstacles psychologiques, certaines personnes utiliseront les « affirmations positives ». C’est un processus qui consiste à répéter une affirmation jusqu’à convaincre notre « moi intérieur » que c’est vrai. C’est le processus pour passer du conscient au subconscient et là est justement toute la difficulté. Le problème de l’affirmation positive c’est que le processus opère au niveau conscient et non au niveau subconscient où se trouvent réellement les croyances limitantes.

Comme l’explique avec humour Bruce H. Lipton, spécialiste de l’épigénétique : « cela ne sert à rien de parler au subconscient, car il n’y a personne à l’intérieur, c’est un appareil qui est constamment sur Play et qui ne fait que diffuser les comportements, les habitudes »11.

Le subconscient peut probablement se rappeler les nombreuses fois où l’on n’a pas été assez bon pour l’affirmation positive « Je réussis… ». Encore une fois, ce processus nécessite de la motivation, de l’autodiscipline, de la volonté et de la maîtrise de soi pendant plusieurs semaines voire pendant des mois, et cela plusieurs fois par jour pour combattre le facteur critique, la petite voix qui dit : « Non, ce n’est pas vrai ».

De plus, l’affirmation positive n’est peut-être pas pour tout le monde. En effet, une étude publiée dans le Journal of Psychological Science, a conclu que « répéter des déclarations de soi positives peut profiter à certaines personnes, comme les personnes ayant une grande estime de soi, mais cela peut aussi se retourner contre les personnes qui en ont le plus besoin. »12

L’hypnose, le moyen le plus rapide et le plus simple pour créer de la neuroplasticité

Vous devez à présent vous dire que cela serait formidable de ne pas être mis au défi par nos croyances limitantes, notre facteur critique, notre moi intérieur et d’aller directement vers le subconscient pour faire le changement. Malheureusement, rien n’existe pour aller instantanément au subconscient comme dans le film « The Matrix » et ainsi y installer un nouveau programme en quelques secondes. Cependant, il existe un moyen très rapide et très simple pour aider quelqu’un à changer le réseau cérébral et c’est l’hypnose. Je ne connais pas d’autres moyens aussi rapides que l’hypnose pour « apaiser » le conscient, pour accéder directement au subconscient et en même temps qui ne nécessite pas autant, voir même aucunement, de motivation, d’autodiscipline, de volonté et de maîtrise de soi pour procurer de la neuroplasticité.

L’American Psychological Association (APA) définit l’hypnose comme une « technique thérapeutique ». Les hypnothérapeutes utilisent l’hypnose pour apaiser l’esprit conscient afin de pouvoir accéder au subconscient et ainsi y introduire des suggestions pour développer ou modifier ce que le patient désire. En d’autres mots, avec l’hypnose, nous pouvons changer le réseau cérébral sans avoir cette guerre intérieure et sans avoir besoin de recourir constamment à la motivation, l’autodiscipline, la volonté et la maitrise de soi tous les jours pendant des mois et des mois.

Plusieurs études ont démontré que la plasticité cérébrale se développe après une séance d’hypnose 13-18. L’étude de Halsband19 a également permis de visualiser la neuroplasticité créée par l’hypnose dans un cerveau en utilisant l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), la tomographie par émission de positons (TEP) et l’électroencéphalographie (EEG) pour mesurer trois bandes de fréquences différentes : thêta, alpha, gamma (figure 1).

Figure1 :

Les cartes en couleurs (figure 2) montrent des augmentations très significatives dans les trois bandes de fréquences : « Dans la bande thêta (t> 10,0, p <0,001), une forte augmentation globale a été mesurée avec un accent particulier sur les zones sensori-motrices bilatéralement. Dans la bande alpha, les augmentations étaient moins prononcées (t> 3, p <0,002 sur les zones sensori-motrices) mais significatives – là encore avec un taux d’activation bilatéral plus élevé dans les zones sensori-motrices. De plus, dans la bande gamma, les activations les plus fortes ont été enregistrées dans les régions cérébrales pariétales, centrales et frontales ». Ces résultats sont en accord avec ceux obtenus dans les recherches de Katayama et al.20.

Figure 2:

Par ailleurs, Halsband19 a réalisé son étude en comparant l’hypnose à la méditation bouddhiste tibétaine. Les résultats ont prouvé que les deux méthodes démontrent une neuroplasticité avec cette particularité dans les bandes de fréquences : « Les amplitudes élevées dans les bandes de fréquences alpha étaient plus prononcées avec la méditation aux positions frontales et avec l’hypnose aux emplacements centraux et temporaux. Une activité significativement plus élevée dans la bande thêta 2 n’a été observée que sous hypnose dans les deux hémisphères ».

Je pratique la méditation tous les matins dans le cadre du programme « Miracle Morning »21 et j’adore ça. Mais là encore, il faut à tous les jours faire preuve de motivation, d’autodiscipline, de volonté, de maîtrise de soi et trouver du temps pour vraiment pratiquer la méditation. Ce n’est pas facile pour la plupart des gens. J’ai beaucoup de clients et d’amis qui ont du mal à se concentrer, à demeurer dans le moment présent et à lâcher prise. Halsband19 explique que : « c’est l’indépendance du besoin de relations sociales qui joue un rôle clé dans les exercices de méditation ». Alors que l’hypnose dépend de la relation avec l’hypnothérapeute et des suggestions.

En résumé, pour créer de la neuroplasticité, la tâche doit être exigeante et répétée plusieurs fois pendant des jours et des semaines. Pour réaliser cela, la personne doit avoir de la motivation, de l’autodiscipline, de la volonté et de la maîtrise de soi pour persévérer dans le temps. De plus, elle doit combattre des croyances limitatives et des peurs au cours de cette période de changement. Pour aider dans cette lutte, les affirmations positives sont utilisées par plusieurs personnes. Cependant, comme nous l’avons vu, cela ne fonctionnera pas la plupart du temps, créant des « guerres intérieures ». Et si cela peut fonctionner pour certaines personnes, ce ne sera pas pour celles qui en ont le plus besoin. L’autre option est de consulter à quelques reprises seulement un hypnothérapeute certifié. Grâce à l’hypnose, en allant directement dans le subconscient, le réseau cérébral va se modifier et va ainsi créer de la neuroplasticité sans devoir faire appel au conscient et aux habitudes personnelles de motivation, d’autodiscipline, de volonté et de maîtrise de soi si difficiles à garder pour l’être humain lorsqu’il veut persévérer dans le temps.

L’objectif n’est pas de trouver une méthode facile sans effort, mais d’aider les personnes pour qui il est très difficile d’utiliser des méthodes qui mettent au défi l’esprit conscient, les croyances et la discipline et qui abandonneront avant même d’avoir pu en retirer des bénéfices.

Afin de résumer ce sujet en image, voici un diagramme comparant les différentes façons d’obtenir de la neuroplasticité, comme mentionné dans ce blog (Figure 3).

Figure 3 :

Sources:

1- The Lancet Neurology

2-  Hebb, D. O. (1949). ⦁ The Organization of Behavior: A Neuropsychological Theory. New York: Wiley and Sons. ⦁ ISBN ⦁ 9780471367277.

3-  Luis Lopes (2010) «Étude exploratoire portant sur les obstacles aux objectifs organisationnels dans le management public » Thesis. Montréal (Québec, Canada), University of Québec at Montréal, Master Business Administration.

4-  Kyle Beswick (2019) Do Brain Games Help Brain Health? ⦁ Cedars-Sinai

5-  Tara Swart (2018) “The-4-underlying-principles-to-changing-your-brain” ⦁ Forbes

6-  Kyle Beswick (2019) Do Brain Games Help Brain Health? ⦁ Cedars-Sinai

7-  Denise C. Park & al. (2013) “The Impact of Sustained Engagement on Cognitive Function in Older Adults: The Synapse Project” ⦁ Psychological Science.

8-  Roger T Staff, Michael J Hogan, Daniel S Williams, L J Whalley (2018) “Intellectual engagement and cognitive ability in later life (the “use it or lose it” conjecture): longitudinal, prospective study” ⦁ British Medical Journal.

9-  Tara Swart (2020) “Creating new neural pathways in the brain” ⦁ The Alternative Daily

10-  Tara Swart & al. (2015) “Neuroscience for Leadership: Harnessing the Brain Gain Advantage (The Neuroscience of Business)”

11-  Bruce H. Liption (2005) “The Biology of Belief”

12-  Joanne V. Wood & al. (2009) “Positive self-statements: power for some, peril for others” ⦁ Psychological Science.

13-  Halsband (2006) “Learning in trance: functional brain imaging studies and neuropsychology”. Journal of Physiology (Paris) 99 4–6: 470–82.

14-  Halsband U (2004) “Mechanismen des Lernens in Trance: funktionelle Bildgebung und Neuropsychologie”. Hypnose und Kognition 21: 11–38.

15-  Egner T, Jamieson G, Gruzelier J (2005) “Hypnosis decouples cognitive control from confl ict monitoring processes of the frontal lobe”. NeuroImage 27: 969–78.

16-  Spiegel D, Kosslyn SM (2004) “Glauben ist Sehen: Die Neurophysiologie der Hypnose. Hypnose und Kognition” 21(1–2): 119–37.

17-  Kosslyn SM, Thompson WL, Costantini–Ferrando MF, Alpert NM, Spiegel D (2000) “Hypnotic visual illusion alters color processing in the brain”. American Journal of Psychiatry 157(8): 1279–84.

18- Faymonville ME, Laureys S, Degueldre C, DelFiore G, Luxen A, Franck G, Lamy M, Maquet P (2000) “Neural mechanisms of antinociceptive effects of hypnosis”. Anesthesiology 92: 1257–67.

19-  Halsband U, Susanne M, Hinterberger T, Strickner S (2009) “Plasticity changes in the brain in hypnosis and meditation”. British Society of Experimental and Clinical Hypnosis.

20-  Katayama H, Gianotti LR, Isotani T, Faber PL, Sasada K, Kinoshita T, Lehmann D (2007) “Classes of multichannel EEG microstates in light and deep hypnotic conditions”. Brain Topography 20(1): 7–14.

21-  Hal Elrod, “The Miracle Morning” ⦁ Hal Elrod’s Keynote Speech (2020): « The Miracle Morning »

Luis

Passionné de développement personnel depuis 2008 et désormais hypnothérapeute certifié par The National Guild of Hypnotists, spécialiste des préventions de rechutes, de l'anxiété et des douleurs chroniques, ce qui fascine Luis Lopes, c'est le changement chez l’être humain. Ce qui est le plus difficile pour les gens, c'est de changer et de mettre en œuvre un changement permanent. Son mémoire de maîtrise a démontré que parmi les 5 obstacles à l'atteinte des objectifs, le plus grand obstacle était de passer à l'action. Donc, si vous voulez passer à l'action et changer quelque chose dans votre vie pour être plus heureux, contactez Luis Lopes.

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